L'orienter

  • vers un médecin traitant
  • vers une consultation anti-tabac
  • vers un CSAPA (Centres de soins, d’accompagnement et de prévention en addictologie)

Les CSAPA assurent notamment le sevrage et son accompagnement, la prescription et le suivi des traitements médicamenteux, dont les traitements de substitution aux opiacés.

Les centres peuvent spécialiser leur activité de prise en charge en direction de personnes consommant des substances psycho-actives illicites ou de l’alcool.

    vers un CAARUD (Centres d’Accueil et d’Accompagnement à la Réduction des Risques pour Usagers de Drogues) dont les principales missions sont :

  • l’accueil collectif et individuel, l’information et le conseil personnalisé pour usagers de drogues,
  • le soutien aux usagers dans l’accès aux soins, aux droits au logement et à l’insertion ou la réinsertion professionnelle,
  • la mise à disposition de matériel de prévention des infections,
  • vers une CJC (Consultation Jeunes Consommateurs) qui propose un accompagnement aux jeunes usagers de cannabis et d’autres substances psycho-actives et à leurs familles.

Pour toutes les adresses utiles, en fonction de la localisation géographique, il est possible de consulter les pages adresses de ce site (http://www.drogues.gouv.fr/etre-aide/lieux-daccueil/structures-de-prise-en-charge-des-usagers/)

Dans le cas des publics toxicomanes désinsérés, le chirurgien dentiste doit être en relation avec les travailleurs sociaux, qui peuvent accompagner les patients dans les démarches administratives et permettre ainsi d'assurer la couverture sociale et la réalisation des soins. Sans accompagnement social, les publics toxicomanes marginalisés ont du mal à s’engager durablement dans la démarche de soins. Il importe donc de les guider en amont et en aval des soins